Il revient au jeu en 1982, mais retombe sur la touche en 1983. Le 28 juillet 1991, il capte un ballon au champ centre frappé par Chris Gwynn, qui confirme la partie parfaite de son coéquipier Dennis Martinez. En 2001, il conserve une fiche de 16 victoires contre 11 défaites, retirant 208 frappeurs au bâton et n’accordant que 44 buts sur balles en 223 manches lancées. En 1984, Carter connaît une saison exceptionnelle avec 27 circuits, 106 points produits et une moyenne au bâton de ,294. Gary Carter était le visage des Expos à ses meilleures années avec l’équipe. En 1973, il domine la Ligue nationale pour les présences au monticule (92), les matchs terminés (73) et les victoires sauvegardées (31). On n’en revenait tout simplement pas. Ses 125 victoires sauvegardées le placent au deuxième rang, derrière Jeff Reardon, dans l’histoire des Expos. Le 22 janvier 1969, soit deux mois et demi avant le premier match de leur histoire, les Expos réussissent un coup de maître en obtenant Rusty Staub des Astros de Houston.
Grand amateur de baseball, Maurice Dumas a suivi de près l’aventure des Expos de Montréal.
Il commence la saison 1993 au deuxième but en remplacement de Delino DeShields, qui est atteint de la varicelle, avant d’être muté au troisième but et à l’arrêt-court. Le 7 mai, il frappe 2 circuits dans une même manche, ce qui en fait le troisième joueur de l’histoire des Expos à réussir cet exploit après John Boccabella (1973) et Andre Dawson, qui l’a accompli deux fois (1978 et 1985). Le club gagnait peu, mais on s’en fichait pas mal.
En trois saisons à Los Angeles, il présente une fiche de 8 victoires contre 12 défaites et une moyenne de points mérités de 3,84. Rogers revient en force en 1982, remportant 19 victoires contre 8 défaites. Il connaît une saison exceptionnelle en 1970 alors qu’il préserve 23 des 73 victoires remportées par les siens, pour une contribution de 32 pour cent. Sans être aussi talentueux qu’Andre Dawson et Ellis Valentine, ses deux compagnons au champ extérieur, il se maintient parmi les 10 premiers frappeurs de la Ligue nationale dans la colonne des coups sûrs, de 1977 à 1983. Photo d'archives, Normand Pichette L’année suivante, à sa première saison complète dans les ligues majeures, il a joué plus de matchs comme voltigeur de droite qu’au poste de receveur.
Lors de cette dernière saison, il fait compter 97 points et conserve une moyenne au bâton de ,311. À l’âge de 41 ans, en 1981, il maintient une excellente moyenne de points mérités de 1,88.
Top 10 des meilleurs joueurs de l’histoire des Expos Moises Alou. Morton est décédé après avoir fait du jogging, en 1983. Photo d'archives, John Taylor Le 17 avril 1969, il réussit un match sans point ni coup sûr contre les Phillies au Connie Mack Stadium de Philadelphie. Renko totalisera 68 victoires en moins de 8 saisons à Montréal.
Mel Rojas s’amène en relève et Martinez reçoit le crédit de la victoire. Vous devez mettre dans l'ordre du meilleur au pire les éléments suivants, en les réordonnant à l'aide des listes déroulantes. L’année suivante, il se joint aux Blue Jays de Toronto à titre de joueur autonome. Microsoft pourrait obtenir une commission en tant qu'affilié si vous faites un achat à partir des liens suggérés dans cet article. Mais c’est un grand amateur de baseball qui a suivi l’équipe dès son arrivée au parc Jarry, en 1969. 56. Choix de première ronde des Expos en 1990, Rondell White doit patienter avant de se faire une place régulière au champ extérieur à ses premières saisons avec les Expos. En 1972, il connaît une saison de 14 victoires contre 8 défaites, conservant une moyenne de points mérités de 1,78. From June 1 forward, Montreal transformed into the dominant club in the league, going 46−18 until the strike. Il préserve 37 victoires en 1992, tout en conservant une fiche de 4 victoires contre 4 revers et une moyenne de points mérités de 2,92. "The difference between the old ballplayer and the new ballplayer is the jersey.