Après une éclipse de deux ans, il revient avec les Expos en 1978, d’abord comme partant la première année, puis comme releveur. Le 8 août 1990, les Expos obtiennent le lanceur Scott Ruskin et le joueur d’utilité Willie Greene des Pirates de Pittsburgh contre l’artilleur gaucher Zane Smith. Ses performances lui valent de participer au match des étoiles en 1980, 1981 et 1982 au Stade olympique. Dans le cahier de demain, « Souvenirs de 1969 », Marc racontera c’était comment avoir 15 ans quand le baseball majeur arrivait à deux pas de chez vous. Après avoir pris part à neuf matchs en 1996, il conserve une moyenne au bâton supérieure à ,300 lors de chacune des sept saisons suivantes. Il détient les records d’équipe suivants : 1767 matchs joués, 1694 coups sûrs, 934 points marqués, 905 points produits, 360 doubles. Raines continue à étourdir l’adversaire sur les sentiers, l’année suivante, en totalisant 78 vols de but. Les Expos le retournent aux Cardinals lorsqu’ils se départissent de leurs plus hauts salariés lors de la reprise des activités, en 1995. Il éclate en 1993 avec 18 circuits et 85 points produits, mais une fracture à une cheville subie alors qu’il freine après avoir contourné le premier but met fin à sa saison. Andre Dawson, en 1985, et Tim Wallach, en 1990, répéteront l’exploit.

En 1994, il devient le joueur de deuxième but régulier des Expos lorsque DeShields est échangé aux Dodgers de Los Angeles contre Pedro Martinez.

Il décline toutefois une offre de contrat. Il fait bien à sa première saison à Montréal en 1979, montrant une fiche de 16 victoires contre 10 défaites et une moyenne de points mérités de 3,04. En 1993, il connaît la meilleure saison offensive de sa carrière avec une récolte de 19 circuits et 95 points produits. Sans avoir la prestance de Gary Carter, Andre Dawson, Tim Raines ou Vladimir Guerrero, il a été l’un des grands joueurs des Expos. Il termine la saison avec 30 circuits, 82 points produits et une moyenne au bâton de ,307. Javier Vazquez fait partie de la liste des bons joueurs recrutés et développés par les Expos. Deux ans plus tard, il devient le premier joueur des Expos à se voir décerner un honneur individuel alors qu’il est élu recrue de l’année.

Many thanks to him. Il termine quatrième au scrutin du joueur le plus utile à son équipe derrière son ancien coéquipier Andre Dawson, alors avec les Cubs de Chicago, Ozzie Smith et Jack Clark, tous deux des Cardinals de Saint Louis. Can your car handle it? Les Expos misent alors sur le trio Alou-Grissom-Walker, mais White a sa chance après le démantèlement de l’équipe survenu après la grève des joueurs en 1994. Il ne jouera plus jamais dans les majeures. Il ne commet que 11 erreurs sur 771 jeux (retraits, assistances et erreurs) à son poste d’arrêt-court, pour une moyenne d’efficacité de ,986.

Classement Canadiens de Montréal On se demande jusqu’où Charlie Lea aurait pu aller si des blessures ne l’avaient pas tenu à l’écart du jeu durant 2 ans (1985 et 1986). Bien qu’il ait amorcé la saison tardivement, il termine deuxième au scrutin pour le titre de recrue par excellence derrière Garry Matthews, des Giants de San Francisco.

* - throws left-handed, # - throws both, else - throws right, ?

Il connaît un regain de vie en 2003 en frappant 16 circuits et en faisant compter 71 points. 1994 Montreal Expos Roster. Much of the play-by-play, game results, and transaction information both shown and used to create certain data sets was obtained free of charge from and is copyrighted by Win Expectancy, Run Expectancy, and Leverage Index calculations provided by Tom Tango of Total Zone Rating and initial framework for Wins above Replacement calculations provided by Sean Smith.Full-year historical Major League statistics provided by Pete Palmer and Gary Gillette of Many historical player head shots courtesy of David Davis. Mais il était aussi d’une grande agilité au poste de premier but, d’où son surnom du Gros Chat. Le 15 avril 1977, il frappe le premier circuit dans l’histoire du Stade olympique. Dès 1975, il devient le titulaire du poste de troisième but. Il subit ensuite six défaites consécutives et présente un dossier de 10 victoires contre 11 revers lorsqu’il participe à son premier match des étoiles.

Ce circuit relègue aux oubliettes les prouesses de Rogers dans les séries, lui qui montre une fiche de 3-1 et une moyenne de points mérités de 0,98. Il mérite aussi le Gant d’or pour l’excellence de son jeu au poste de receveur de 1980 à 1982.

L’année suivante, il montre une fiche de 9 victoires contre 4 défaites, tout en préservant 12 triomphes. La transaction prévoit une compensation à venir pour l’équipe montréalaise.

Il remet ça contre Jerry Reuss, un gaucher tout comme Carlton, dans la troisième rencontre de la Série de championnat de la Ligue nationale contre les Dodgers de Los Angeles. Ses 125 victoires sauvegardées le placent au deuxième rang, derrière Jeff Reardon, dans l’histoire des Expos. Le lanceur Dave McNally ne commence que 12 matchs avec les Expos avant de prendre sa retraite de la compétition.

Les années suivantes sont moins faciles. Rogers a le meilleur sur son opposant Steve Carlton, éventuel membre du Temple de la renommée du baseball, lors du premier et du dernier match de la série. Ce que l’on sent en parlant avec les joueurs qui ont porté les couleurs des Expos, c’est qu’ils veulent tous croire au retour du baseball à Montréal.