Ce film d'animation est très beau, très émouvant et nous fait voir une facette peu connue en Europe, des effets de la Seconde Guerre mondiale sur le Japon.
Dans le film, le retour à la réalité est plutôt brutal et ce qui est douloureux n’est pas vraiment le fait qu’on découvre la vérité (on l’avais deviné depuis bien longtemps) mais plutôt de voir que Seita y croyait. Mais alors, pourquoi ça a fait un bide ? En vérité, une bonne partie du studio n’y croyait pas au projet mais ils ont eut une bonne idée. Il n’y a rien de plus pur qu’un enfant, c’est ce que j’aurai retenu du tombeau des lucioles dressant un portrait lugubre et monstrueux des adultes. Le film débute lorsque la ville de Kobe se fait bombarder. Zba zip. Les musiques sont quant La chanson qu’on entend parle du bien de revenir chez soi, l’image contraste avec les paroles quand on sais que le chez soi de certains sont un pauvre abri. L'enfance ne nous donne pas le même regard, mais le coeur sait très bien s'émouvoir de la même façon. Le problème de ce réalisateur est qu’il prend trop son temps et le film prend énormément de retard, ce qui lui a valu de finir le film avec une scène inachevée.
Ce n’est pas uniquement tout ce que j’ai dit auparavant qui me font dire ça, c’est que le film aime beaucoup jouer sur ce que l’on voit et ce que l’on entend. Il y a tout un débat sur la question qu’un enfant pourrait regarder ce film. Alors qu’il rêvasse, Seita voit littéralement un défilé militaire, des navires qui partent en guerre et à on sont bord : son père. Il était vu comme le fils spirituel de Miyazaki mais il mourra en 1998 d’Anévrisme. Il retrace les horreurs de la guerre et l'impact que celle-ci peut avoir sur une famille tout entière. Voici comment le film s’ouvre, un plan fixe sur le héro du film, Seita, qui nous regarde dans l’obscurité et prononçant cette phrase qui sert de titre à cette partie.
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Je n'ai qu'un seul regret, c'est d'avoir découvert ce merveilleux film un peu tard et avoir raté la superbe édition collector Bluray ,boîtier bonbon métallique sorti entre 2017 et 2018. C’est un dessin merveilleux dans un monde en pleine destruction. En effet, Akiyuki Nosaka à perdu sa famille lors de ses bombardements et à vu sa sœur mourir de Dénutrition, fessant de lui le seul survivant. Le Tombeau des lucioles dse une tomheau particulière en Francecar c’est le premier film de Takahata et du lucuoles Ghibli à avoir été distribué dans les salles de cinéma, enmême s’il ne rencontre pas à ce moment-là un succès de masse.
En vérité, une bonne partie du studio n’y croyait pas au projet mais ils ont eut une bonne idée. Sorti en 1988, il s'agit d'une adaptation d'une nouvelle partiellement autobiographique La Tombe des Lucioles de Akiyuki Nosaka. Bitte versuchen Sie es später noch einmal.Wir konnten Ihre Stimmabgabe leider nicht speichern. Antoine Bourguilleau — 8 mai 2018 à 14h51 — mis à jour le 9 mai 2018 à 13h44 . Le tombeau des lucioles. vous l'aurez compris, n'est pas là.
Deux enfants, Seita et sa jeune soeur Setsuko, accompagnées de leur mère, réussissent à s’échapper. Très beau coffret rappelant la petite boîte de fer que la fillette trimbale dans ce bouleversant film de Takahata. Pour eux, la nature incompréhensible du mal fait en sorte qu’ils ne se rendent pas compte de la dure réalité à laquelle ils font face.Il y a plusieurs images difficiles tout au long du La dernière scène du film est la seule partie qui n’est pas avec le regard de Seita. Petit rappel, Isao Takahata est le cofondateur du studio Ghibli avec son copain Miyazaki suite au succès de (je rappelle qu’on connaît Miyazaki que depuis le succès du film
Bitte versuchen Sie es später noch einmal.Wir konnten Ihre Stimmabgabe leider nicht speichern. à elles excellentes et véhiculent bien les émotions Au sein du studio Ghibli, Tōru Hara assure notamment la production du Chateau dans le ciel (1986), Le Tombeau des lucioles (1988), Mon voisin Totoro (1988), Kiki la petite sorcière (1989) et Souvenirs goutte à goutte (1991). En réalité, il regarde un enfant qui est mort dans l’indifférence et dans une gare avec d’autres enfants, cette enfant c’est lui…..Vous avez compris, le ton est donné dès les premières secondes et on ne va pas rire.
Une réplique me vient à l’esprit : « Pourquoi les lucioles meurent toute de suite ?
face à la guerre. Ils regardent la ville ‘moderne’ paisible qui leurs fait face, une manière simple de dire : « Plus jamais ça ! (Hotaru No Haka), de Isao Takahata-Studio Ghibli (1988)Une grande et belle