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Le superintendant Mark Burstyn, exclu de la police après l'affaire de l'Eventreur du Yorkshire, est un homme âgé qui vit chichement à Paris.
Et pourquoi de cette façon-là ?Je profite des vacances pour refaire mon retard. Please see your welcome email for exclusions and details. Et justice pour tous qui clôt la trilogie anglaise de Michaël Mention. Les blancs prennent peur, le FBI réagit.
© 1998-2020, Amazon.com, Inc. oder Tochtergesellschaften Parce que je suis beaucoup plus vieux que Et comme à cette époque j’étais jeune et bête, tout ce que décrit admirablement l’auteur, la tension, la haine après l’agression de Battiston, l’envie de massacrer ce putain de goal, la haine envers un arbitre qui ne dit rien, les hurlements aux deux buts des prolongations, l’abattement médusé de retour au score, l’effondrement des tirs aux buts … Puis de nouveau cette haine envers la brute et l’arbitre … Tout cela, vécu il y a plus de 30 ans m’est revenu d’un bloc !Premier exploit du roman, arriver à faire revivre tout ça de façon aussi nette, alors que, heureusement, j’ai un peu changé et j’ai, du moins en ce qui concerne le foot, des réactions un peu moins primaires.Deuxième exploit, réussir à recréer un suspense alors qu’on connaît parfaitement la fin !Et troisième exploit, et non des moindres, remettre tout ça en perspective, le raccrocher à ce qui se passait à l’époque, à ce qui c’était passé quarante ans plus tôt et même à ce qui se passe aujourd’hui.Vraiment un roman à ne pas manquer, même si on n’a pas vécu ce match, même si on n’aime pas le foot, et, bien entendu, à ne rater sous aucun prétexte pour les « vieux » qui ont vécu ça.La peur … c’est bien là le sujet central du roman.
Une vague de meurtres touche le nord de l'Angleterre ; les victimes sont des prostituées.
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Cette montée est très bien orchestrée, avec une belle synchronisation entre le collectif et les histoires intimes et individuelles.
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La drogue, les gangs et les infiltrés seront leurs armes contre ce mouvement qui met en péril le fondement raciste et capitaliste du pays.Sur fond de rock, de soul et de funk, Charlene, jeune fille militante, Neil flic choqué par ce qu’on lui fait faire, et Tyrone sorti de prison pour infiltrer le mouvement feront partie des nombreux jeunes broyés par cette lutte.Vous hurlez (intérieurement) de colère et de frustration face aux menées du FBI, et surtout, vous regrettez la fin d’un tel mouvement qui, avec ses lacunes, ses erreurs, ses conneries, a eu le mérite d’essayer de soulever les damnés de la Terre, a nourri des gamins, éduqué des adultes, soigné des humains, ceux dont personne ne voulait, ceux dont personne ne s’occupait.Un tel roman est-il indispensable en ces périodes d’individualisme, de recul du collectif, de fric tout puissant, d’oubli des luttes passées, d’inexistence de vision du futur ? Il s'agit du premier opus d'une trilogie anglaise dont la suite, Adieu demain, a été publiée en mars 2014.
Javascript doit être activé dans votre navigateur pour utiliser toutes les fonctionnalités de ce site.Troisième volet de la trilogie anglaise de Michaël Mention, entamée avec L’éditeur de ce livre a choisi de protéger ce fichier avec la technologie Adobe DRM.Certaines liseuses propriétaires (Sony...) peuvent nécessiter l’utilisation d’un logiciel dédié.Troisième volet de la trilogie anglaise de Michaël Mention, entamée avec
Un récit qui reste un polar, avec un suspense que l’auteur ne néglige jamais, avec des coups de théâtre, avec une angoisse qui monte.Et puis il y a cette plongée progressive des personnages dans la folie et la peur, plongée oppressante qui culmine avec le chaos qui suit le 11 septembre. Avec une impression de Too much (ben oui, on est en Angleterre), un Mark Burstyn trop détruit, qui subit trop de choses, avec des horreurs, des compromissions qui finissent par laisser de marbre à force de s’accumuler.Ou alors j’étais mal luné, vu qu’ici et là tout le monde semble complètement enthousiaste …Et c’est là que les choses commencent à mal tourner …Je peux me tromper, mais malgré l’intrigue, je crois qu’il ne faut pas lire La description du monde des media, elle, est beaucoup plus crédible et féroce.
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Michaël Mention [Trilogie anglaise, n°1] Sale temps pour le pays 1976.
Une fin en apothéose, à travers un livre qui peut se lire indépendamment, mais qui est intimement lié …
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j'ai bien aimé.Je n'ai rien d'autre à en dire.
Je vois bien la dimension de conte, l’image de la nature qui, toute en sauvagerie, vient se venger de ce que lui fait subir l’homme (et je ne vous en dis pas plus).
Parallèlement, Michael Mention signe en janvier 2014 avec Fils de Sam un docu-fiction consacré au serial-killer qui terrorisa les Etats-Unis et la ville de New York durant l'été 1977.
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