vous pourriez, seigneur, par cette indignité De l'empire à vos pieds fouler la majesté ?La majesté des rois d'Angleterre serait demeurée plus inviolable, si, contente de ses droits sacrés, elle n'avait point voulu attirer à soi les droits et l'autorité de l'ÉgliseIl ne faut point s'étonner s'ils [les Anglais] perdirent le respect de la majesté et des lois, et s'ils devinrent factieux, rebelles et opiniâtres[Dans la révolution anglaise] nul frein à la licence, la majesté violée par des attentats jusqu'alors inconnusTitre particulier qui se donne aux empereurs, aux rois et à leurs épouses (avec une M majuscule). Changer la langue cible pour obtenir des traductions.Copyright © 2000-2016 sensagent : Encyclopédie en ligne, Thesaurus, dictionnaire de définitions et plus. [Leurs Majestés].Sa Majesté impériale, l'empereur des Français, l'empereur d'Autriche, que l'on qualifie aussi de Sacrée Majesté, mais seulement quand on lui parle, l'empereur de Russie, l'empereur du Brésil. Le nom en appos. majesty definition: 1.
Votre Majesté \vɔ.tʁə ma.ʒɛs.te\ féminin singulier. With Reverso you can find the French translation, definition or synonym for Votre Majesté and thousands of other words. [À propos d'une pers. MM. La majesté du sénat.Ont-ils [les rois] rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette majesté si pompeuse et si fière, Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'universIl [Dieu] leur [aux rois] fait voir en leur retirant sa puissance que toute leur majesté est empruntéeIl [Charles 1er] a montré qu'il n'est pas permis aux rebelles de faire perdre la majesté à un roi qui sait se connaîtreLa majesté est l'image de la grandeur de Dieu dans le princeLes rois, non plus que le soleil, n'ont pas reçu en vain l'éclat qui les environne ; il est nécessaire au genre humain ; et ils doivent, pour le repos autant que pour la décoration de l'univers, soutenir une majesté qui n'est qu'un rayon de celle de DieuIl [Condé] apprit à l'Espagne, trop dédaigneuse, quelle était cette majesté que la mauvaise fortune ne pouvait ravir à de si grands princes [les Stuarts détrônés]C'est l'esprit du christianisme de faire respecter les rois avec une espèce de religion que le même Tertullien appelle très bien la religion de la seconde majesté ; cette seconde majesté n'est qu'un écoulement de la première, c'est-à-dire de la divineLa majesté des rois inspire plus de respect que de tendresse ; c'est une espèce de religion civile et de culte politique, qui nous fait révérer ces traits que la main de Dieu a gravés sur le front de ceux à qui il daigne communiquer sa puissanceAu fond de leur palais leur majesté terrible [des rois de Perse] Affecte à leurs sujets de se rendre invisibleÊtre heureux comme un roi, dit le peuple hébété ; Hélas ! En majesté, se dit d'une figure du Christ, de la Vierge, d'un saint assise sur un trône dans une attitude hiératique.
Notes [modifier le wikicode] Cette tournure est utilisée pour remplacer le discours direct à la deuxième personne du pluriel (dans l’exemple : Êtes-vous prêt(e) pour la fête ? Learn more. Loi de majesté, loi punissant tout attentat contre le peuple romain, et appliquée par les empereurs à tout délit contre le prince.Il y avait une loi de majesté contre ceux qui commettaient quelque attentat contre le peuple romain ; Tibère se saisit de cette loi et l'appliqua, non pas aux cas pour lesquels elle avait été faite, mais à tout ce qui put servir sa haine ou ses défiancesTerme de diplomatique.
Sa Majesté très chrétienne, le roi de France.
GMaq Established Member Posts: 1639 Joined: Fri Sep 25, 2009 1:42 pm. de l'adj., du part., du pron., sauf lorsque ce titre est suivi d'un nom (Sa Majesté le roi, la reine), auquel cas l'accord se fait avec le nom. ... mille nobles et domestiques couvraient de leurs corps les pavés, les escaliers, les planchers du château, ou brûlaient sous les décombres de la caserne, et ,,Pluriel du pronom de la première personne utilisé à la place de Caractère de grandeur, de noblesse dans l'apparence, les manières, qui suscite une admiration mêlée de respect. Du moins tel est l'usage constaté par Bouhours dans ses Nouvelles remarques : Je l'ai assuré que Votre Majesté était le maître, DUC DE SAVOIE, dans BOUHOURS ; Cette acquisition ne donnerait à Sa Majesté aucun avantage solide, puisqu'aussi bien elle serait maître de ses États, MAZARIN, dans BOUHOURS.2. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de ces cookies. Faut-il dire, en parlant à un roi : Votre Majesté est maître ou maîtresse ? L'«idée» que Dieu connaît et pénètre toutes choses, jusqu'aux replis les plus secrets de notre coeur, a été regardée par les saints comme tout (...) autrement efficace pour contenir les hommes dans le respect et dans la crainte de la ,,Loi punissant tout attentat contre le peuple romain et appliquée par les empereurs à tout délit contre le prince`` ([Titre donné aux souverains héréditaires lorsqu'on parle d'eux ou que l'on s'adresse à eux]2. Je rendrai compte à Sa Majesté.Le zèle que vous [religieuses du Val-de-Grâce] avez pour votre Époux, vous faisait voir avec plaisir ces Majestés [Anne et Marie-Thérèse] humiliées en sa présenceLe prince d'Orange ne se mêla point aux compliments, parce qu'il n'aurait point eu de Sire, ni de MajestéLouis XI fut le premier roi de France à qui on donna quelquefois le titre de Majesté, que jusque-là l'empereur seul avait portéIl n'y avait autrefois que l'empereur qui eût le titre de Majesté ; les autres rois s'appelaient Votre Altesse, Votre Sérénité, Votre GrâceCe n'est que depuis 1741 que la chancellerie impériale traite les rois de Majestés dans le protocole de l'empireL'empereur ne voulait point donner le titre de Majesté aux rois ses vainqueurs ; son ministre Lutzau, dans le premier acte de 1641, qui établissait les saufs-conduits et les conférences, parle des préliminaires entre sa sacrée Majesté césarienne et le sérénissime roi très chrétienVoilà comme les hommes sont ballottés par la fortune ; Sa Sacrée Majesté le hasard décide de toutDans les temps anciens, Majesté n'était pas particulier aux souverains, et se disait d'autres grands personnages.Il y a encore une lettre de lui [Charles IV] au cardinal Colombier, doyen du sacré collége, datée de l'an 1355, dans laquelle il appelle ce doyen Votre MajestéTerme de littérature.