Site internet : RURAWEB Although most of us have heard of Lyon's silk workers, or canuts, who wove exceptional fabrics, less is known of the other trades; the people who repaired the weaving looms, the embroiderers, the card punchers and the silk merchants… In just a few years, this guide has become the repertoire of “places to be”. Les dernières sociétés de soieries lyonnaises se réorientent donc vers les textiles techniques, la restauration et les activités patrimoniales. Les résultats commerciaux restent cependant mitigés jusqu'aux années 1730Bénéficiant des évolutions favorables connues sous Louis XIV, la Grande Fabrique traverse le Après deux siècles où les soyeux lyonnais suivent la mode étrangère et surtout italienne, ils s'émancipent complètement au Durant ce siècle, les Lyonnais exportent la majorité de leur production en Europe du Sud ou du centre. Lorsque la Le choc est très violent. This week Via l'La Fabrique est institutionnellement dominée par les grands marchands, qui sont constamment soutenus par le roi.

Par la suite, le nombre des soyeux stagne, aux alentours de 350 à 400 marchands-fabricantsLa plupart de ces grandes maisons lyonnaises furent créées par des néophytes au La Révolution industrielle pénètre peu la Fabrique, qui reste une économie à fort coût de main-d'œuvre, aisément supportée par la haute valeur du produit fini. Des maisons comme Permezel n'hésitent pas à procéder ainsi, de même que Veuve Guérin et fils, qui investit dans des filatures au Moyen-Orient en rachetant les usines de Pour mieux connaître la soie chinoise, à l'imitation de la mission Lagrénée de 1844, une seconde expédition est organisée à l'invitation de La recherche d'un meilleur approvisionnement en fil de soie incite la chambre de commerce à créer en 1885 le « Laboratoire d'études de la soie ». Plusieurs fabricants soyeux fondent ainsi en 1904 la « Société lyonnaise de la soie artificielle » ; même si nombreux sont ceux au sein de la Fabrique à ne pas se tourner résolument vers ce fil jugé moins nobleLes industriels entament une mécanisation intense de leurs outils de production. Le maître ne peut avoir que deux apprentis et il lui est interdit de faire travailler des personnes hors de sa famille, pour par exemple des travaux annexes tels que le montage des L'industrie lyonnaise, à l'époque entièrement consacrée au luxe nobiliaire français, se voit forcée de chercher d'autres débouchés en s'adressant à une clientèle moins fortunée, demandant des tissus plus simples.

In Lyon La Fabrique enjoyed its heyday during the 18th century, a century of fame for the city's silk trade, the influence of which was felt worldwide. Accès : Bus 31 et 43 depuis le métro Gare de Vaise arrêt La Sauvagère.

La maison la plus emblématique de cette stratégie commerciale est celle dirigée par Léon Permezel, qui parvient par de nombreux moyens techniques à valoriser les déchets de soie et les matières moins nobles pour produire en massePlus symboliquement, en 1886, le Conseil municipal de Lyon crée une marque aux armes de la ville permettant aux acheteurs de reconnaître une étoffe tissée à Lyon.

Our website is opimized for recent browsers. ), La place de la soie dans l'économie des cités italiennes du Moyen Âge au Sur les tissus italiens de la Renaissance, consulter : Maria-Anne Privat-Savigny, Publiées par M. V. de Valous : Étienne Turquet et les origines de la Fabrique lyonnaise. De même, nombreux sont les marchands-fabricants à ne pas vendre directement leurs tissus au client final. Des sociétés importantes et séculaires s'effondrent, telles les Guérin, Payen ou Ulysse PilaPour survivre, beaucoup de sociétés abandonnent purement et simplement la soie, se tournant entièrement vers les fibres artificielles.