To Da Bone, dernière création de (LA)HORDE est un spectacle survolté issu du Hardstyle. Onze danseurs bondissant sur 140 BPM dans des nappes de fumées… Le trio détonne dans le paysage chorégraphique. Les jeunes qui s'y filment forment une véritable communauté. La séquence nostalgie fascine le public ; l’usage de la vidéo est subtil ; l’accrochage de l’écran puis ses mouvements ondulants se font très simplement, manuellement, mais produisent leur effet.Le finale tient du light show pour grand stade, avec force décibels et fumigènes, corps abstraits réduits à la dimension des ombres chinoises. More effective than any energy drink: TO DA BONE features cracked dance dynamics with an Instagram aesthetic. En l’occurrence, une onzaine d’autodidactes provenant surtout d’Europe, de l’Atlantique à l’Oural, avec un très infime quota féminin et pas du tout de ratio racial. Mathieu Douay aka Magii‘x (Frankreich), Camille Dubé Bouchard aka Dubz (Québec), László Holoda aka Leslee (Ungarn), Thomas Hongre aka ToPa (Frankreich), Kevin Martinelli aka MrCovin (Frankreich) Viktor Pershko aka Belir (Ukraine), Nick Reisinger aka Neon (Deutschland), Edgar Scassa aka Edx (Frankreich), Andrii Shkapoid aka Shkap (Ukraine) Damian Kamil Szczegielniak aka Leito (Polen), Michal Adam Zybura aka Zyto (Polen) To Da Bone par (LA)HORDE avec : Camille Dubé Bouchard aka Dubz (Quebec), Kevin Martinelli aka MrCovin (France), Edgar Scassa aka Edx (France), Thomas Hongre aka ToPa (France), Mathieu Douay aka Magii’x (France), Valentin Basset aka Bassardo (France), Nick Reisinger aka Neon (Allemagne), László Holoda aka Leslee (Hongrie), Damian Kamil Szczegielniak aka Leito (Pologne), Radek … Auch die Jumper*innen mit ihren elektrisierenden Sprüngen zu harten 150 Beats in der Minute … “TO DA BONE” dreht die Lautstärke auf und überlässt jungen Jumper*innen aus den Vorstädten europäischer Metropolen die Bühne. Der Twerk gehört dazu, bei dem das globalisierte Girlie seine Hüftschwünge feiert.

Jumpstyle is a high-energy form of dance and music that began in the suburbs of Belgium and the Netherlands in the aughts (Coproduktion: Charleroi danse, Théâtre de la Ville de Paris, MAC - Maison des Arts de Créteil, le manège - scène nationale de Reims, Teatro Municipal do Porto, POLE- SUD - CDC Strasbourg, La Gaîté Lyrique, Fondation BNP Paribas, DICRéAM - Dispositif pour la création artistique multimédia et numérique, Spedidam, Institut français - Convention Ville de Paris. Jumpstyle ist ein hochenergetischer Tanz- und Musikstil, der in den Nullerjahren in den Vorstädten Belgiens und der Niederlande entstand (wie vorher bereits Gabber), und sich dann über das Internet weltweit verbreitete. We only use essential cookies on our website. NOW ヅ TO DA BONE - Ouverture de la Biennale de Charleroi danse c'est ce soir ! Wir verwenden auf unserer Webseite ausschließlich essentielle Cookies. Avec To Da Bone, ces artistes post internet font sortir de Youtube un style de danse dont l'existence était jusque-là cantonnée à des vidéos circulant sur le net. Le style de danse vulgarisé et/ou sublimé par (LA)HORDE est donc celui du Jump, niche esthétique dont ils font leur miel depuis plusieurs années déjà. Faut-il dire qu'un public de tous âges a plébiscité la pièce ?Vu le 5 octobre 2018 au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines À l'origine de To Da Bone, il y a le fascination de (La)Horde pour la façon dont le jumpstyle est redevenu populaire sur les réseaux sociaux. Residenzen: Charleroi danse, MAC - Maison des Arts de Créteil, Teatro Municipal do Porto, le manège - scène nationale de Reims, CCN2 - Centre chorégraphique national de Grenoble.Gastspiel mit freundlicher Unterstützung des Institut francais und des französischen Ministeriums für Kultur und Kommunikation / DGCA. Le contraste est saisissant entre l’aspect martial de la démo d’une demi-heure du début et la deuxième partie du Dès lors prend fin l’unisson : le corps, d’élite ou de ballet, devient pluriel, devient parlant, devient multi-langue. In neuen Formationen ziehen sie in die tänzerische Rebellion gegen die kollektive Müdigkeit in unserer Gegenwart.

Wirkungsvoller als jeder Energy-Drink: TO DA BONE ist gesprungene Tanz-Dynamik in Instagram-Ästhetik. Mehr zu den erhobenen Daten und eingebundenen Diensten Dritter können Sie unseren Datenschutzbestimmungen entnehmen. Tout le monde respire, décompresse, se relaxe, au vu et au su du public, les coulisses étant sur scène – sur l’immense plateau saint-quentinois mis à nu et sous une lumière tamisée. Mit Unterstützung von: Mairie de Paris, SACD - Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques, Cité internationale des Arts, Liberté Living-Lab, CCN2 - Centre chorégraphique national de Grenoble, DGCA - Direction générale de la création artistique. Spectacle de danse bruyant, mais non assourdissant, (La)Horde décide alors d'inviter plusieurs jumpers de Lyon et de la région de l'Ain à les rejoindre sur un court projet pour Forts de cette première expérience, ils réunissent sur scène 11 danseurs des quatre coins de l'Europe et leur demander de danser ensemble pour la première fois pour Ignorant les frontières, leur spectacle dévoile une danse dont les influences voyagent elles aussi d'un pays à l'autre, notamment en Europe de l'Est où le genre est réputé pour ses spins et sauts aériens réalisés avec un talent rappelant les ballets russes et la danse classique.Produits d'un monde connecté, les mouvements hybrides du En 2018, La Horde a réalisé, avec le soutien de l’Institut français, en partenariat avec la Ville de Paris, une résidence de création à Tbilissi, en Géorgie.L’Institut français s’associe à 21 collectivités territoriales pour le développement des échanges artistiques internationaux.

Pour obtenir cette fantasmagorie, une machine à lumière a spécialement été conçue par Patrick Riou, qui arrose et aveugle tout ce qui se trouve à sa portée, aussi bien les doubles silhouettés des danseurs que leurs vis-à-vis, en l’occurrence, nous autres, spectateurs. Jugendliche posteten halbminütige Clips mit exzessiven Sprung … Composée d’une succession rapide et cadencée de sautillements (les jumps), elle a acquis sa notoriété grâce aux réseaux sociaux, sur lesquels les jumpeurs diffusent vidéos et tutoriels pour leurs adeptes. Les danseurs se racontent en leur temps imparti – mis en scène.