« J’ai ramené à Athènes, dans leur patrie fondée par les dieux, bien des gens vendus plus ou moins justement (…), subissant une servitude (Bien que le vocabulaire employé soit celui de l’esclavage « classique », la servitude pour dettes en diffère parce que l’Athénien asservi reste Athénien, et dépendant d’un autre Athénien, dans sa cité nataleLa liberté gagnée par l’esclave peut être totale ou partielle, au choix du maître. Dans d'autres royaumes mycéniens, comme C…

Tout d'abord, les femmes devaient constituer un corps pour participer à des fêtes (De plus, les femmes étaient à l'égal des hommes dans la sphère religieuse et devaient remplir des fonctions sacerdotales : chaque cité avait des prêtresses. Aucun traité ne porte spécifiquement sur le sujet. Aucun traité ne porte spécifiquement sur le sujet. La Grèce a été le berceau d'une brillante civilisation, une civilisation dominante, culturelle… Cet essor de la civilisation grecque a largement été catalysé par l'essor, moins glorieux de l'esclavage.

Les transactions immobilières réalisées par des femmes sont une chose assez courante au sein de cette période. Aussi l’asservissement des cités est-elle une pratique très contestée. Les couteliers du père de Un esclave veille au confort de son maître : porter son vêtement, transporter la bourse pour faire le marché, l'installer confortablement lors des réceptions ou événements, être envoyé à la banque ; en société, il est de bon ton de se faire assister et accompagner par un esclave au moins. Au Il semble que les Grecs ne pratiquaient pas l’« élevage » des esclaves — du moins à l'époque classique : la proportion des esclaves nés à la maison paraît assez importante dans l'Égypte ptolémaïque ou dans les actes d'affranchissement hellénistiques de Par ailleurs, les esclaves nés à la maison, minoritaires, constituent souvent une classe privilégiée. Sur les problèmes qui sont posés par les noms des esclaves dans la Grèce an¬ cienne, on dispose d'un travail excellent, mais peu répandu et déjà ancien : Die griechis-chen Sklavennamen, par Max Lambertz (Vienne, 1907). Dans les épopées homériques déjà, la Grèce antique s’affirme comme une société patriarcale.Au VIII e siècle, la cité en se développant se bâtit sur une double exclusion : « club de citoyens », elle exclut les étrangers et les esclaves ; « club d’hommes », elle exclut les femmes [1]. Quelques rares exemples fournis par la documentation témoignent de la présence des femmes dans le domaine professionnel. Dans les archives du palais mycénien de Pylos, on a retrouvé la trace d'esclaves, esclaves ordinaires ou esclaves consacrés à un dieu (ici le dieu Poséidon). On leur confie par exemple le soin d'emmener les enfants à l'école : ce sont les « pédagogues », au sens premier du terme. Si elle est protégée contre le Cependant, la femme jouit à Gortyne d'une autonomie beaucoup plus grande que dans les autres cités. Ainsi, au chant VI de Enfin, elles sont des maîtresses de maison, régissant l'Autour de l'épouse légitime gravitent les servantes et les concubines. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Plus précisément, il existe une multitude de statuts allant du citoyen libre à l’esclave-marchandise, en passant par les esclaves-serfs (Moses Finley (1997) propose une grille de lecture des différents statuts : La Grèce a été le berceau d'une brillante civilisation, une civilisation dominante, culturelle… Cet essor de la civilisation grecque a largement été catalysé par l'essor, moins glorieux de l'esclavage. Jameson plaide en faveur d'un recours massif à la main-d'œuvre servile (« Agriculture and Slavery in Classical Athens » dans Traduction de G. Mathieu et B. Haussoullier, Les Belles Lettres, 1985.Pour : Gregory Vlastos, « Does Slavery Exist in Plato's Émile Chambry, Alain Billault, Émeline Marquis et Dominique Goust (
Certaines sources retrouvées témoignent de ces actes d'évergétismes. »

Il s'agit d'assurer la prospérité de la lignée familiale. Elle est sous la tutelle de l'homme : père, frère ou époux. « Pour arrêter la guerre, refusez-vous à vos maris. Selon Aristote, dans le couple conjugal, « l’autorité (Avec sa propre personne, la jeune mariée apporte également sa Le divorce sur l'initiative de l'épouse ne devrait normalement pas être permis : seul le tuteur pourrait demander la dissolution du contrat. Cependant, il importe ici de distinguer les différentes classes sociales. Toutefois, elles sont présentes dans les activités commerciales, par exemple elles vendent des produits faits chez elles. Au chapitre VII de l’La femme athénienne est une éternelle mineure d’âge, qui ne possède ni droit juridique, ni droit politique. Comme l'explique Claude Vial, « Une prêtresse comme un prêtre, devait appliquer les lois sacrées relatives au sanctuaire et au culte dont elle avait la charge. Avant le XIIIe siècle av. Cependant, pour ce qui est de l'activité culturelle, dans toutes les cités grecques, la femme (épouse ou fille légitime de citoyen) se trouve à l'égal des citoyens hommes. Ainsi, lorsque Comme dans les autres cités grecques, la femme à Gortyne est une inférieure.