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Mona Chollet est journaliste au Monde diplomatique.Elle est notamment l’auteure de Beauté fatale.Les nouveaux visages d’une aliénation féminine et de Chez soi.Une odyssée de l’espace domestique (Zones, 2012 et La Découverte, 2015) ainsi que de Sorcières (Zones, 2018). Et un peu à la porte de chez moi aussi. Ce livre apprend moins de choses aux lecteurs qui ont déjà lu beaucoup d'ouvrages féministes qu'aux plus jeunes. Il évoque la vision de la femme et ses conditions de vie dans le monde patriarcal. Tremblez, les sorcières reviennent ! Il y a eu les guérisseuses, qui étaient les seuls médecins du peuple et qui, peu à peu, ont commencé à être associées au Diable et à être pourchassées. Je me demande aussi si ma déception n'est pas générationnelle, ayant déjà croisé d'autres écrits féministes. N'importe quelle tache, cicatrice ou irrégularité pouvait faire office de preuve et on comprend que les femmes âgées aient été confondues en masse. Quoique cet aspect compte-rendu m'a paru parfois décousu, les liens et transitions entre les parties flous et ténus.
Ce livre est un livre militant, pas un document « techniquement » historique, même s’il part d’un fait avéré dans l’histoire. Les trentenaires sont particulièrement enthousiastes et c'est pour moi l'intérêt essentiel de ce livre, en espérant qu'il conduise les jeunes vers d'autres lectures plus complètes.
et comme toujours = il est dans ma pal :D J'aime bien ta présentation ( et le blog aussi bien ...Cet essai de Mona Chollet semble être devenu une référence dans les publications féministes ( et avoir généré moult parutions autour de la figure de la socière depuis son succès ). Il nest pas très difficile de voir que les beautés plastiques, cest de la viande, cest un produit de consommation courante : les magazines en dégorgent à chaque page, tout le monde en est blasé jusquà lécurement.
FLUX Désormais journaliste et chef d'édition au Monde diplomatique2, elle anime également le site de critique culturelle Périphéries3, … Cet essai de Mona Chollet semble être devenu une référence dans les publications féministes ( et avoir généré moult parutions autour de la figure de la socière depuis son succès ).
Mona Chollet : Sorcières, La Puissance Invaincue Des Femmes "La sorcière incarne la femme affranchie de toutes les dominations, de toutes les limitations : elle est un idéal vers lequel tendre, elle montre la …
Cette première lecture de non-fiction de l'année n'aura pas été très concluante, j'espère que les autres le seront davantage.
Ils mettent des mots et structurent ("Beauté fatale en tout cas est beaucoup plus organisé) sur ce que l'on entend et observe.
Impression : (61-Lonrai : Normandie roto impr.) Quelques grammes en moins et on est anorexique ; quelques grammes en plus et on est enceinte. C'est vraiment dommage pour ce " confus " parfois. Pour ma part, l'effet compilation ( aux fils distendus ) ajouté aux choix anglo-saxons m'a détachée de cette lecture, d'autant que je n'y apprenais rien, qu'elle ne m'invitait pas à aller plus loin, à voir autrement, disons des aspects ou des enjeux que je n'aurais pas perçus. Mais rien sur l'institution de la fête des mères. Les autres lectures non-fiction le seront, j'ai peu de doutes. Agenda C'est certain qu'il y a maintenant l'embarras du choix. J'attends patiemment ton retour de lecture ( ce livre a attendu un an sur mes étagères, alors, malgré ma curiosité de ton avis, je ne peux pas te presser ;)) C’est ce qu’explique Mona Chollet dans son essai Sorcières, la puissance invaincue des femmes (La Découverte, 2018). Elle parle de figures féministes mais pas que, elle s’interroge sur l’intériorisation de certains principes par les femmes elles-mêmes.
Tremblez, les sorcières reviennent ! C'est son mérite, c'est certain. Image repoussoir, représentation misogyne héritée des procès et des bûchers des grandes chasses de la Renaissance, la sorcière peut pourtant, affirme Mona Chollet, servir pour les femmes d'aujourd'hui de figure d'une puissance positive, affranchie de toutes les dominations. Nous ne recevons pas les lectures de la même façon, et c'est plutôt rassurant. Le seul truc qui m'inquiétait un peu, le sous-titre "la puissance invaincue des femmes" qui me laissait craindre un aspect "on est tellement spéciales et magiques" potentiellement lié à la wicka (que je connais extrêmement mal), a finalement été absent, sauf peut-être dans les parties sur l'écoféminisme à la fin (qui m'ont perdue aussi ^^).