Ahmed m’explique que le venin injecté lors de la piqure de rascasse dans mon doigt craint la chaleur.Malgré cela, impossible de me rassurer mais ça m’encourage.Afin de tenter de me réchauffer, Didier qui m’a rejointe, m’aide à ôter le haut de ma combinaison de plongée et m’entoure avec des serviettes de plage.Manifestement, le médecin au bout du fil convient qu’il faut que je vienne jusqu’au centre à 5 minutes de route.Toujours en pleurs, toujours transie de froid, de douleur et de peur, je monte avec Didier et Ahmed dans la camionnette.Durant le trajet, loin de l’eau chaude, j’ai la nette sensation que ma main va exploser et puis… j’ai l’impression que mon doigt devient insensible.Je tremble comme une feuille. COVID-19 : les entreprises et les réunions familiales impactées par le virus en Martinique Un cas de Covid-19 détecté au sein du personnel des pompiers de Martinique Enfin, Wolfgang et Philippe nous avertissent de ne pas faire attention à eux. Par ailleurs, en l’absence de soin, les chairs concernées peuvent se nécroser, voire se gangrener si la blessure n’est pas traitée.En raison du risque de gonflement du membre piqué, il vaut mieux prendre la précaution d’ôter bagues et bracelets.La toxine contenue dans le venin est thermolabile : les molécules neurotoxiques dont elle fait partie, de nature protéinique, sont en effet dénaturées par la chaleur. La peau gonfle et présente progressivement un aspect cyanosé. Des convulsions sont également possibles.Une prise en charge immédiate est fortement recommandée pour limiter la diffusion du venin dans le membre touché.

Pourtant, la suite me montrera des personnes bien compétentes.Avec Ahmed le lendemain de la piqure de rascasse | © Different DiveJe salue au passage la réactivité d’Ahmed et des autres membres Et surtout… n’oubliez pas d’être heureux/heureuse je me permets de partager un petit retour d’expérience et d’observation en ce qui concerne la famille des Péterois (rascasse) volitans, radiata, antennata, etc… .Un grand merci pour toutes ces précisions. Ses nageoires, très élégantes, sont en forme d'éventail, mais ne vous fiez pas à sa beauté.. Il est doté d'une vingtaines d'épines empoissonnées ! J’ai toujours aussi mal, aussi froid (je grelotte) … et aussi peur. Ligue des champions : le Paris Saint-Germain écrase le RB Leipzig (3-0) et file en finale pour la première fois de son histoire Ligue des champions : revivez la victoire du PSG face à Leipzig (3-0) en demi-finale De plus, il n’est pas possible de garder un morceau d’épine dans votre peau car elles ne cassent pas (dixit le médecin du centre baro-traumatique). Le poisson-pierre (Australie, Nouvelle-Calédonie etc.) Le dispositif de toxicovigilance aux Antilles le montre dans une étude parue récemment. Je me sens un peu mieux.Ensuite, le docteur nous explique que la douleur peut durer 48h mais qu’il n’y a rien à faire si ce n’est prendre des antidouleurs et des anti-inflammatoires.Je le remercie en lui disant que c’est décidé, que j’arrête la plongée, que c’est bien trop dangereux. Même si pour les divemaster et instructeurs du centre je serais la plongeuse piquée par le poisson lion et que nombreux seront ceux et celles qui viendront admirer ma blessure d’exploration.La piqure de rascasse volante, un accident fréquent ?Dans le centre Coraya à Marsa Alam, j’étais la deuxième personne victime d’une piqure de poisson lion en 6 mois de temps. Outre la douleur, le stress me gagne parce que je ne suis plus certaine des effets de la piqure de rascasse.

Avec la démocratisation du matériel de photo, il est aujourd’hui plus simple pour l’ensemble de la communauté des passionnés de plongée de se lancer dans l’aventure de la photo sous-marine.
La photo sous-marine nous oblige à repenser notre manière d’appréhender la plongée. Comment reconnaître un poisson lion dans l'eau ? Aujourd’hui, il y est omniprésent et il n’est plus rare, en plongée, de croiser sa silhouette unique au détour d’une exploration. Soit leur vente permet en partie de financer des associations luttant en faveur de l’environnement.La nuit ne semble pas vouloir tomber en ce mois de mars sur la baie égyptienne où j’explore les fonds marins.Avec mon binôme Didier et Dany, un ami, nous nous apprêtons à faire Le temps des derniers jours était au vent et nous redoutons une visibilité très moyenne.Peut-être parce qu’ils ont moins l’habitude que nous des plongées de nuit, peut-être par sympathie, Wolfgang et Philippe, les deux autres inscrits à cette sortie, décident qu’ils nous suivront. Nulle envie de sentir sa piqure.Arrivés en surface, en larmes, je dis à Didier que je viens d’avoir une piqure de rascasse et que je veux être le plus vite possible hors de l’eau. Cependant, j’aime tellement plonger de nuit que je continue d’avancer dans l’eau.Les vagues sont fortes et manquent de nous faire basculer. Ces poissons sont très bons pour se cacher dans leurs environnements. Les aiguillons d’un poisson scorpion | © Different Dive Monitrice passionnée, créatrice de contenu et questionneuse d'idées2020 © All rights reserved helene@differentdive.comCette section est consacrée aux portraits de photographes sous-marins amateurs ou semi-professionnels.

Je continue à sangloter jusque-là.Premières réactions à avoir suite à une piqure de rascasse Ahmed me dit de plonger mon doigt dans l’eau chaude qu’il m’apporte.J’ai l’impression qu’en plus de la douleur, il veut m’ébouillanter. Propagation du Covid-19 : le monde de la nuit sous la loupe des autorités Les piqûres du poisson-lion posent un problème de santé publique santé Le poisson-lion sème la terreur dans les eaux de la Caraïbe et fait peur à cause de ses épines.

L’idée est que toutes et tous ensemble nous sommes capables de réfléchir et de produire quantité de connaissances. Lire aussi : Chasser le poisson-lion.
StopCovid : l'application est-elle un fiasco ? L'oedème local est extensif.