25 mars 2020. in POLITIQUE.
C'est un peu comme le confinement, quand va-t-il s'arrêter ? En raison du confinement, les lecteurs ne peuvent se rendre dans les kiosques. Le Canard Enchaîné doit faire face lui aussi à l’épidémie de coronavirus : effectifs réduits, distribution perturbée… Les patrons du journal satirique ont donc pris la décision de publier, pour la 1 ère fois, sur leur site internet l’intégralité du numéro 5185, qui paraît mercredi 25 mars. Comme cela a été annoncé sur Twitter, le numéro du « Canard enchaîné » daté du mercredi 25 mars est disponible en version numérique. C'est un numéro historique du Canard enchaîné qui sort mercredi 25 mars. Vous disposez déjà d'un compte sur europe1.fr avec l'email Pour associer votre compte PassMedia avec votre compte Europe 1 en toute sécurité, validez votre email : Crise du coronavirus oblige, le palmipède est disponible pour la première fois en ligne, une première pour ce journal centenaire qui refusait jusque-là de s'afficher en version numérique, comme l'explique Cyril Lacarrière dans son journal des médias mercredi. "Notre attachement au papier continue, mais on va essayer d'avoir un attachement numérique aussi si on n'a pas la possibilité de faire autrement. Une première pour cette institution centenaire. On verra plus tard", a-t-il conclu.Par Depuis plus de cent ans, on s'est transmis l'attachement au papier parce que les kiosquiers par exemple étaient les VRP du Canard à une époque. Ordre de capitulation en rase campagne - Le Canard Enchaîné, 25 mars 2009 mercredi 25 mars 2009 , par Mathieu Pour lire l’article, ouvrez le document ci-joint. Le Canard Enchaîné doit faire face lui aussi à l’épidémie de coronavirus : effectifs réduits, distribution perturbée…Les patrons du journal satirique ont donc pris la décision de publier, pour la 1L’édition du jour ne comporte que 4 pages, contre 8 habituellement.
Fondé le 10 septembre 1915 par Jeanne et Maurice Maréchal, aidés par Henri-Paul Deyvaux-Gassier, c’est l’un des plus anciens titres de la presse française actuelle, notamment le plus ancien titre de presse satirique encore actif. Pour les autres, il faudra payer 1€ pour lire les articles.Nos lecteurs qui n’auront pas trouvé leur exemplaire chez leur fournisseur habituel pourront lire, sur ce même site, pour un euro, ce numéro de quatre pages.
Maintenant, qu'est-ce qu'il va se passer ?